Testing predictions of length at first maturity of teleostean fishes, given their maximum length

Keskiṅ Ç., Pauly D.

Volume: In Press
Number: In Press
Pagination: 1-9
Editeur: Société Française d'Ichtyologie
doi: https://doi.org/10.26028/cybium/2023-001
Notes:

Corresponding author: Daniel Pauly, d.pauly@oceans.ubc.ca

Résumé

This contribution presents a test of a hypothesis published in 1984 that teleostean fishes mature and spawn when they reach the threshold value of LmaxD/LmD of 1.35 (95% CI: 1.22-1.53). Here, Lm is the average length at first maturity of the fish in a given population, Lmax is the maximum length reached by the individuals in that population, and D a parameter ranging between 0.3 and 1.2 in fish which relates their body size, via their gill surface area, to their oxygen consumption. The data analysed here, which include 120 Lmax/Lm pairs in 57 fish species from the published literature on marine and freshwaters in Southeastern Europe and West Asia, lead to a new ratio estimate of 1.44 (95% CI: 1.41-1.48), when all cases are given the same weight and 1.30 (95% CI: 1.17-1.43) when the phylogeny of the 57 species is explicitly accounted for. Both sets of results are within the confidence intervals of the earlier estimate and thus corroborate the above hypothesis.

Mots-clés: Gill-Oxygen Limitation Theory - Hormonal cascade - Juvenile-to-adult transition - Maturation
Résumé en français

Test d’une méthode pour prédire la longueur à la première maturité des poissons à partir de leur longueur maximale

Cette contribution présente un test de l’hypothèse publiée en 1984 selon laquelle les poissons téléostéens atteignent leur première maturité quand ils atteignent le seuil critique du rapport LmaxD/LmD de 1,35 (95% intervalle de confiance 1,22-1,53). Dans ce contexte, Lm est la longueur moyenne à la première maturité (ou puberté) des membres d’une population de poissons, Lmax est la longueur maximale observée parmi cette population, et D est un paramètre dont la valeur, entre 0,3 and 1,2 relie la taille des poissons, par l’intermédiaire de la superficie de leurs branchies, à leur consommation d’oxygène. Les données analysées, à savoir 120 couples de valeurs de Lmax et Lm extraites de la littérature scientifique représentant 57 espèces de poissons des eaux douces et de mer du sud-est de l’Europe et du Moyen-Orient, ont permis une nouvelle estimation du rapport sus-cité de 1,44 (95% intervalle de confiance 1,41-1,48), si toutes les populations sont pondérées de la même façon, et 1,30 (95% intervalle de confiance 1,17-1,43) si l’on tient compte de la phylogénie des 57 espèces. Ces résultats sont tous deux compris dans l’intervalle de confiance calculé préalablement, et sont donc compatibles avec l’hypothèse initiale

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