Sur les côtes méditerranéennes, en été, C. galerita stationne pendant la nuit au-dessus du niveau moyen atteint par les vagues, apparemment en état de sommeil. Une étude quantitative montre que ce phénomène d’émersion nocturne affecte la quasi-totalité de la population ; ses modalités sont étudiées en détail, en comparaison avec le mode de vie aquatique diurne. En milieu aérien, C. galerita est certainement capable de respiration cutanée ; des mouvements respiratoires des opercules apparaissent cependant, avec une fréquence et une durée variables selon l’orientation de l’animal par rapport à la pente. En comparaison, l’émersion nocturne de B. trigloides est très réduite, et ne concerne qu’une petite partie de la population.