Dans le but de constituer des bases de données, les auteurs insistent sur la rigueur à respecter dans l’orthographe des noms taxinomiques et dans les références bibliographiques. Ils illustrent les problèmes en citant le cas de Bregmaceros mcclellandi [Cantor MS] Thompson, 1840). Il existe ainsi dans la littérature quatorze orthographes du nom et quatorze références bibliographiques différentes de l’article original. Cette variabilité non-signifiante peut rendre difficile la consultation de bases de données. Ils montrent aussi que l’application stricte du Code International de Nomenclature Zoologique diminue la cohérence et l’utilisation facile des systèmes d’information actuels. Deux solutions sont suggérées pour minimiser ces problèmes.